Eagle Tar
La forme de l’instrument se terminant par une tête d’aigle lui a valu son nom. Il est construit en frêne massif avec une table d’harmonie en poly carbonate, une ossature en duralumin et une barre de contrôle de tension en titane. Il n’en fallait pas moins pour résister à la tension des 23 cordes de cet instrument. Chacun des matériaux qui a servi à la fabrication des pièces a été choisi pour ses qualités en fonction de la pièce à réaliser. La cohérence des formes et des matières font de ce prototype un exemple en ce qui concerne l’apport des technologies et des matériaux contemporains à la lutherie d’aujourd’hui.
Le manche de l’instrument supporte 8 cordes mélodiques. Il est muni de frettes, sur une moitié pour les 4 premières cordes ( type guitare) et d’un touche lisse pour les 4 autres cordes ( type basse). Quinze cordes harmoniques (2 octaves heptatoniques) sont disposées le long du corps de l’instrument selon l’espacement classique des cordes de guitare pour pouvoir être jouées en basse tonique ou arpégées en accord.
Pour permettre de faire la liaison entre la guitare et la basse, l’accord se fait de la façon suivante :
1° 2° 3° 4° 5° 6° 7° 8°
ré la fa do sol ré la mi
guitare basse



Kotar
Les grandes dimensions de cet instrument permet d’obtenir une augmentation très importante de la puissance acoustique et de la durée du son.
Le kotar utilise, pour la première fois, une technique de construction qui sera appelée « table corps galbé ». Cette table est composée de deux feuilles de bois sous contrainte formant un volume; D’une très grande légèreté, elle est aussi très résistante. Les 15 cordes mélodiques sont munies de chevalets à frisement d’harmoniques.
L’instrument possède 3 jeux de cordes sympathiques intercalés entre les 3 octaves de cordes mélodiques.
Le kotar est en suspension sur une structure « en berceau » évitant ainsi les pertes acoustiques dues au support : la puissance sonore s’en trouve encore augmentée.





tampura
Cet instrument est directement inspiré de l’instrument indien qui porte ce nom. Le « tampura » indien n’est pas un instrument mélodique, sa fonction est de « donner le ton » en maintenant, pendant toute la durée de l’exécution, la tonique et les notes sensibles du mode joué. C’est un instrument de quatre ou cinq cordes sans frettes qui a la particularité de posséder un chevalet dont la courbe permet le dégagement des harmoniques. Cet instrument est particulier à la musique indienne. Cependant, on peut trouver dans d’autres traditions des instruments ayant des fonctions similaires, comme le « ton-ton » occitan par exemple.
Actualisation de l’instrument traditionnel, cette tampura est plus légère, plus maniable, plus résistante. Très didactique, elle permet à des musiciens peu expérimentés d’effectuer des réglages harmoniques précis.

tarbass
C’est sur cet instrument qu’a été appliqué pour la première fois le principe du chevalet dessolidarisé. La tessiture du tarbass couvre plus de cinq octaves de portée, réunissant celle du violoncelle et de la contrebasse.
Le manche est constitué d’un tube tronconique creux en acier inoxydable qui supporte sur une de ses faces six cordes mélodiques et sur l’autre une série de cordes sympathiques. Cette disposition des cordes permet la répartition des tensions de chaque côté du corps de l’instrument. A la hauteur du chevalet, les cordes sont maintenues entre deux arceaux métalliques qui supportent des résonateurs. Ces résonateurs peuvent être en différents métaux ou en d’autres matières comme le bois, la peau ou des matières composites. Ils sont amovibles de façon à pouvoir modifier à volonté l’acoustique de l’instrument.





Pentoctar
C’est sur cet instrument qu’a été appliqué pour la première fois le principe du chevalet dessolidarisé. La tessiture du tarbass couvre plus de cinq octaves de portée, réunissant celle du violoncelle et de la contrebasse.
Le manche est constitué d’un tube tronconique creux en acier inoxydable qui supporte sur une de ses faces six cordes mélodiques et sur l’autre une série de cordes sympathiques. Cette disposition des cordes permet la répartition des tensions de chaque côté du corps de l’instrument. A la hauteur du chevalet, les cordes sont maintenues entre deux arceaux métalliques qui supportent des résonateurs. Ces résonateurs peuvent être en différents métaux ou en d’autres matières comme le bois, la peau ou des matières composites. Ils sont amovibles de façon à pouvoir modifier à volonté l’acoustique de l’instrument.
